L‘ergothérapie a fait ses débuts en Amérique du Nord dans les années 1900 et bien que cette profession soit exercée depuis plus d’une centaine d’années, elle demeure très méconnue du public.
L’Énergie Nucléaire procure à l’être humain des avantages énormes et lui rend la vie plus sécuritaire et plus performante.
L'intelligence artificielle est l'avenir de la médecine. Dr An Tang, radiologiste au CHUM et professeur titulaire au Département de radiologie de l'Université de Montréal, a une passion contagieuse pour le développement de ces outils. L'objectif : les utiliser comme alliés aux diagnostics et aux traitements.
Un anévrisme est une dilatation d'une artère susceptible de progresser jusqu'au moment où il y aura une rupture provoquant une hémorragie massive.
Deux têtes valent mieux qu'une. Ce dicton bien connu s'applique plus que jamais à la création du nouveau Consortium canadien en neurodégénérescence associée au vieillissement (CCNV) qui réunit plus de 300 chercheurs à travers le pays.
La génétique est un vaste domaine scientifique dédié à la recherche sur les maladies héréditaires et génétiques, entre autres, en oncologie, pédiatrie, cardiologie et neurologie.
Il s'agit d'une glande que seul l'homme possède. En effet, la prostate, cette glande fibromusculaire située sous la vessie et en antérieur de l'ampoule rectale, accompagne l'homme tout au long de sa vie. Elle peut devenir, passé la cinquantaine, une source de soucis et de désagréments. D'un poids à l'âge adulte d'environ 25 grammes, elle amorce une croissance rapide à la puberté sous l'effet des androgènes, soit la testostérone, provenant des testicules et des surrénales. Tout au long de la vie, elle continuera à grossir. À partir de la cinquantaine, 80 % des hommes amorceront un début d'hypertrophie de la prostate et, après 80 ans, la totalité des hommes aura une hypertrophie bénigne de la prostate. Celle-ci sera plus marquée chez certains avec des manifestations qui nécessiteront des interventions pharmacologiques ou chirurgicales. Comme on peut le découvrir dans l'article du professeur Fred Saad à la page 16.
Tokyo 2021 est un moment charnière pour les athlètes, particulièrement avec le contexte de la pandémie où l'entraînement et les compétitions ont été chamboulés. La plongeuse Meaghan Benfeito vit sa dernière participation aux Jeux olympiques. Après trois médailles de bronze à Londres et à Rio, elle est bien entourée pour donner son maximum.
À côté du mot persévérance dans le dictionnaire, il y a sûrement le nom de Dre Lyne Gilbert, scientifique principale à l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM) et directrice de la Division d'oncologie gynécologique et de l'Unité de recherche sur la santé des femmes du CUSM. Elle dédie sa carrière à la recherche du dépistage précoce des cancers de l'ovaire et de l'endomètre, dans l'objectif de sauver des vies des milliers de femmes victimes de ces tueurs silencieux.
Dire que la nouvelle ministre de la Santé et des Services sociaux a du pain sur la planche est un euphémisme. Pourtant, Danielle McCann semble embrasser ce nouveau défi avec optimisme
Les connaissances scientifiques sont très avancées, les nouvelles technologies bénéficient d'une politique gouvernementale très favorable, les programmes de subventions en innovation se multiplient. L'innovation est un raz de marée sur un écosystème entier que nous ne pourrons éviter et qui apportera certainement beaucoup d'avantages malgré les importants défis d'intégration dans la pratique.
CAPAHC salue l'arrivée du Blueprint, modèle directeur proposant des stratégies et outils adaptables à chaque province afin d'atteindre l'objectif d'élimination de l'hépatite C de l'OMS.
Au Québec, 6 000 femmes ont reçu un diagnostic de cancer du sein en 2016, selon la Fondation du cancer du sein du Québec, le Québec étant par ailleurs une des provinces au Canada ayant le plus haut taux d'incidence et de prévalence de cancer.
Les fibromes utérins sont fréquents, leur incidence étant de 70 % à l'âge de 50 ans. De 20 à 50 % de ces fibromes causent des symptômes et exercent des effets sociaux et économiques considérables au Canada.
Combien de sportifs amateurs ou professionnels subissent une commotion cérébrale chaque année au Québec? Impossible de le savoir précisément. Trop, de toute évidence. Des spécialistes, au nombre desquels figure Dr Patrick Cossette, chercheur et neurologue au CHUM, reconnaissent que le nombre de commotions cérébrales dans les sports de contact est difficile à établir de façon précise. Chez nos voisins américains, selon le Center for Disease Control (CDC), chaque année, entre 1,6 et 3,8 millions de sportifs sont victimes de traumatismes crâniens légers, plus communément appelés commotions cérébrales lorsqu'ils surviennent dans le cadre d'activités sportives.
Plus de 20 ans après la fondation de Bio-k+, Claude Chevalier est toujours aussi passionné par le développement de son entreprise que par les découvertes des nouveaux bienfaits pour la santé de ses produits.
Ma chronique d'aujourd'hui portera sur l'état du secteur de l'automobile chez nos voisins du sud. Situation qui ressemble étrangement à celle que nous avons vécue en 2008, pour ceux qui s'en rappellent. Je me suis inspiré d'un excellent papier de Richard Dupaul, l'automobile américaine sur une route cahoteuse, paru dans La Presse du 14 août dernier qui brosse un bien sombre tableau de cet important moteur économique pour les Américains et, par ricochet, un important contributeur de notre propre économie.
Sylvain B. Tremblay, ADM. A., PL. FIN. Vice-président, Gestion privée Optimum gestion de placements Inc.
Par Christiane Bergeron, Dt.P. Agente de planification, de programmation et de recherche Pilote clinique régional du Registre des maladies chroniques Mission régionale, Direction des services professionnels CIUSSS Centre-Sud-de- l'Île-de-Montréal
Christiane Barbeau, Dt.P. Experte conseil en maladies chroniques Auparavant, Équipe de soutien à la transformation Montréal Montérégie, MSSS
Par Andrée-Ann Dufour Bouchard, Dt.P., M. Sc. Chef de projets | ÉquiLibre
« Trop de gens pensent que les per- sonnes en surpoids sont responsables de leur situation et n'ont qu'à « se prendre en main » en mangeant moins et en bougeant plus. Pourtant, les causes de l'obésité sont complexes, multiples et plusieurs facteurs influencent l'apport et la dépense énergétique, dont certains sur lesquels l'individu n'a pas le plein contrôle. »